L’Organisation des Nations-Unies (ONU) a dénoncé les récentes arrestations d’avocats et de journalistes en Tunisie, affirmant qu’elles portent atteinte à l’État de droit.
Il a déclaré que les perquisitions signalées au barreau du pays violaient l’indépendance des avocats et constituaient des formes d’intimidation et de harcèlement.
Le président tunisien, Kais Saied, a été accusé d’avoir organisé une prise de pouvoir depuis qu’il a pris le pouvoir en 2021.
En vertu d’une loi qu’il a ratifiée il y a deux ans, plus de 60 avocats, journalistes et personnalités de l’opposition auraient été arrêtés pour avoir diffusé ce qui est qualifié de « fausses nouvelles ».
Les critiques affirment que la loi est utilisée pour étouffer la dissidence.